Aux îles bienheureuses
Mais alors, sous les pins sombres troués d’étoiles,
Enlacés aux plis d’un manteau,
Dans mes bras rudes de jadis tu blottiras,
Silencieusement, ô sœur immémoriale,
Le soleil de ta chair et le sel de ta peau.
Découvrez aussi
Tous les livres